dimanche 27 mai 2012

25 mai 2012 : de Gérone à Cordes


 


De retour à Cordes après un beau voyage en Andalousie


Vendredi 25  mai 2012
Notre dernière étape n’a rien de très originale : après avoir fait le plein de carburant (au même prix sur l’autoroute en Espagne que dans les hyper en France), nous passons la frontière sans vraiment nous en apercevoir. Nous retrouvons la circulation française chargée, d’autant plus que nous sommes aujourd’hui le vendredi du grand week-end de la Pentecôte.
 Les collines sont encore plus vertes que de l’autre côté des Pyrénées, où elles nous semblaient pourtant déjà bien verdoyantes. Elles sont également plus douces et, quand on vient d’Andalousie, l’ensemble fait plus penser à la Corrèze qu’à l’Andalousie et pourtant nous sommes dans la région de Perpignan ! Le littoral est beaucoup plus lagunaire que la Costa Brava et nous logeons les étangs de Leucate et de Sigean  (en saluant de loin Gruissan) puis prenons la direction de Toulouse.
Après une halte dans un restaurant de Revel tout à fait délicieux où nous mangeons sur la terrasse de « Melon avec Serrano »  et de merlu (merluzza en espagnol) car il faut savoir ménager des transitions alimentaires prudentes, nous arrivons sans encombre à la maison. Le compteur marque 3700 kms.
Même pas le temps de dire « estamos en casa » que je repars aussi vite pour l’Evêché où m’attend une réunion ! La vraie vie a repris.

24 mai 2012 : de San Jose à Gérone






De San Jose à Gérone : beaucoup de forteresses sur les crêtes des collines


 
Jeudi 24  mai 2012
De même que les hirondelles s’apprêtent à quitter l’Andalousie pour revenir chez nous, de même nous commençons notre retour vers Cordes. Mais il sera plus rapide !
C’est avec regret que nous quittons donc Doña Pakyta, tant cet hôtel est charmant, bien situé, bien aménagé et joliment décoré. Sans oublier le personnel tout à fait accueillant et le temps qui nous a permis de passer 4 jours tout à fait agréables, de vraies vacances d’été (sans la foule) avant l’heure !
Nous disons donc au revoir au village de San José comme aux serres en plastique qui entourent Almeria, passons au large de  Nijar, de Las Negras  et prenons la direction de Murcie. La première grande ville traversée est Lorca sur le Rio Guadalentin qui fait de toute la région une riche zone agricole, où nous identifions orangers, oliviers, amandiers, alors que  la vallée est très vite cernée par des collines arides. Nous contournons Murcie puis suivons tout un dédale d’autoroute en fonctionnement ou.…en construction et arrivons dans les parages de Valence.
La route continue à être bordée de montagnes (l’Espagne est le pays de la meseta) et au fur et à mesure que les plaines deviennent plus larges, les cultures de fruits et de légumes deviennent plus abondantes et nous rappellent que le pays qui pourtant n’est pas un gros producteur de céréales, est la quatrième puissance agricole européenne.
Après, à nouveau, quelques difficultés pour trouver un restaurant (les espagnols n’ont pratiquement pas d’aire de services sur les autoroutes et les indications sur la route renvoient aux villages environnants sans plus de précision), nous nous arrêtons dans un restaurant pour routiers. Est-ce parce que nous sommes dans la région de Valence, mais on y sert (en « primo » c'est-à-dire en hors d’oeuvre) de la Paëlla Valenciana que Sylvie trouve, malgré tout, moins  bonne que la Paëlla Cordese !
Maintenant que nous sommes dans la plaine de Valence, nous sommes entourés d’orangers. Cela me rappelle mes voyages chez Roquette à Benifaio d’où, en février nous revenions couverts d’oranges succulentes. Malgré cela, nous laissons Benifaio sur le côté, passons au large du « Centro Penitencial » puis de l’usine Ford d’Almusafès et continuons notre remontée vers le Nord.
Nous entrons ensuite en Catalogne et les panneaux en catalan qui remplacent ceux en espagnol en témoignent. Nous approchons alors de Barcelone. Le paysage change déjà : il est plus vert et les arbres couvrent les collines, les plaines sont plus grandes et surtout, avec ses usines, son trafic routier et toutes les constructions qui l’envahissent, il est beaucoup plus urbanisé. Nous ne sommes plus en Andalousie mais, au contraire, dans la partie riche du pays et cela se voit. Pour nous, c’est moins les vacances !
Après avoir effleuré Barcelone, nous apercevons la Montagne Sciée qui se découpe de manière menaçante et tranchante dans le ciel : nous sommes tout près 2 lieux évocateurs pour nous : Montserrat et Manrèse, deux lieux essentiels dans la vie de Saint Ignace.
 Après avoir parcouru près de 900 kms aujourd’hui, nous arrivons à notre hôtel, le Novotel de l’aéroport de Gérone, qui me fait inéluctablement penser au Novotel de Clermont-Ferrand que je connais bien. Sylvie s’attendait à quelque chose comme le Hilton de O’Hare, mais nous trouvons un hôtel, certes à proximité de la sortie d’autoroute mais dans un cadre tout à fait champêtre et c’est dehors, à côté de la piscine, sans bruit d’avion (malgré Ryannair, Gérone n’est pas O’Hare), que nous prenons notre dernier dîner espagnol. Nous ne sommes plus qu’à 75 kms de la frontière française.


jeudi 24 mai 2012

23 mai 2012 : San Jose (suite)






San Jose : baignade dans la mer devant notre hôtel

23 mai 2012 : San Jose






San Jose : la playa de los Genoveses



Mercredi 23  mai 2012
Après avoir hésité à consacrer la journée à Almeria et à la région à l’ouest de la ville, nous décidons de ne pas trop nous écarter de San José car l’endroit est certainement plus joli.
Notre première excursion est pour la Playa de los Genoveses, du nom de la flotte génoise venue en 1147 participer à la reprise, sans succès, d’Almeria. C’est une longue plage de sable fin et comme elle n’est accessible que par une piste de 2 kms, l’endroit, magnifique, est vide de monde, du moins à cette saison de l’année car en été, le parking, pourtant bien vaste, est saturé dès avant 11 h 00. Bien que tentante, nous résistons aux appels de la mer où nous irons faire un saut cet après midi.
Notre prochaine étape est pour Nijar, petite bourgade tranquille à flan de coteaux où nous sommes venus hier : nous arrivons avant la siesta mais les ateliers de poterie sont tous fermés, à croire qu’ils sont partis en Chine faire leurs achats ! Mais les boutiques sont ouvertes et nous faisons quelques achats de plats de belles couleurs vives, style traditionnel des poteries de Nijar
Nous nous dirigeons ensuite vers Las Negras, la petite station balnéaire du bout du monde où nous sommes venus lundi. Nous retrouvons avec plaisir notre restaurant sur le bord de la plage et, comme lundi, nous déjeunons au doux bercement du bruit de vagues alors que, de temps en temps, passe au loin un petit bateau de pécheurs car il faut bien que les anchois de la friture d’anchois que nous mangeons viennent de quelque part ! C’est vraiment les vacances : il fait 30°C, le ciel est parfaitement bleu et rien ne nous presse !
Aussi, lorsque nous revenons à notre hôtel, nous allons nous baigner : nous avons la plage pour nous tous seuls au milieu de cette anse de San José faite de bleu, le bleu tropical de la mer et celui du ciel, de blanc, celui des maisons qui se découpent sur les rochers, de beige, celui de la Sierra qui vient se jeter dans la mer. Et celle-ci, dans un tel paysage, ne pouvait être que bonne, même si quelques petits courants froids nous faisaient penser à la piscine de Ronda !
Et c’est notre dernier dîner devant la mer, dans notre grande salle à manger alors que le soleil se couche et que les vagues continuent à nous bercer calmement et sereinement.

mercredi 23 mai 2012

22 mai 2012 : Nijar






Nijar, un autre village de potiers

22 mai 2012 : Sorbas






Sorbas : village de potiers avec son ancien four de potiers arabes

22 mai 2012 : le monde moderne






Les tomates que vous mangez en ce moment viennent d'ici et ce n'est pas très beau comme paysage. Les panneaux  solaires sont plus discrets.


Mardi 22  mai 2012
Hier, la journée a été consacrée à la côte, aujourd’hui elle sera consacrée à l’arrière pays.
Nous partons vers Almeria, retrouvons les serres en plastique, nous perdons quelque peu entre la ville nouvelle de Toyo et l’aéroport mais finissons par reprendre l’autoroute vers Grenade. Après avoir salué au passage Viator et Pechina, nous arrivons dans le seul désert en Europe, le désert de Tabernas. Les coteaux pelés, la sécheresse, les cactus, la couleur ocre en font un vrai décor de western, à tel point d’ailleurs que quelques  westerns connus y ont été filmés (Pour une poignée de dollars, le Bon, la Brute et le Truand, et même, dans un genre différent, Lawrence d’Arabie). Et c’est vrai qu’encore une fois l’Espagne nous offre ses magnifiques grands espaces qui sont si éloignés de nos paysages français. Mais nous laissons de côté les divers parcs d’attraction consacrés aux westerns : quand on a vu Tombstone ou les studios de Tucson, ce serait perdre notre temps. Par contre, nous nous arrêtons dans le village de Tabernas qui a une belle église en briques avec un joli portail Renaissance mais nous remarquons surtout les grand-père qui jouent aux dominos en sirotant leur petit verre de vin blanc. Pourquoi rentrer à Cordes ?  
Nous nous dirigeons ensuite vers Nijar. Le paysage est plus verdoyant, plus riche et on trouve de nombreuses plantations d’oliviers ainsi que des usines de production d’huile. Avant de descendre sur Nijar, nous empruntons une vraie route de montagne tant elle serpente et surplombe des ravins inquiétants. Nous sommes à nouveau dans des endroits vides de toute population : seule marque de la présence de l’homme : un champs de panneaux solaires !
Nijar, qui a donné son nom au canton de cette partie de la côté, est une petite ville (20 000 habitants) où le Guide Vert nous avait recommandé un bon restaurant et de beaux ateliers de potiers traditionnels. En fait de restaurant, celui indiqué est remplacé par un bar à tapas tenus par 2 jeunes franco-espagnols. Et pour 13€ en tout, nous faisons deux bons petits repas. Quant aux ateliers de potiers, c’est l’heure de la siesta et ils sont tous fermés. Heureusement, nous tombons sur la seule boutique ouverte de toute la ville et trouvons un plat à notre goût.
Notre promenade nous mène ensuite dans le parc naturel  karstique de Yesos où nous retrouvons les paysages de Guadix (à l’exception de habitations troglodytes) puis nous atteignons Sorbas où, là aussi, les potiers font la sieste…qui ne termine certainement pas avant 17 h 00 !
Il est donc l’heure de rentrer à notre hôtel, consulter nos mails, y répondre, car le retour à la maison est proche, puis de dîner au restaurant de l’hôtel avec des voisins australiens amoureux de l’Europe où ils passent 7 semaines de vacances puis  de prendre un Pinacolada offert par la maison. De quoi bien dormir !



mardi 22 mai 2012

21 mai 2012 : Cabo de Gata (suite 3)






Cabo de Gata : sur la terrasse de notre restaurant à Las Negras

21 mai 2012 : Cabo de Gata (suite 2)






La mer au phare de Cabo de Gata

21 mai 2012 : Cabo de Gata (suite 1)






Un petit clin d'oeil à Benoît : "vamos a la playa" !

21 mai 2012 : le Cabo de Gata






Des moulins à vent dans les environs de San Jose


Lundi  21  mai 2012
C’est le soleil qui nous réveille. Il fait un temps magnifique et le vent a cessé.
Notre première journée à San José est consacrée à faire une longue promenade en voiture le long de la côte.
Nous partons d’abord en direction d’Almeria vers le Cabo de Gata (le cap de l’Agate, et non de la chatte, du fait des pierres que l’on y trouvait). Nous retrouvons d’abord une zone de plasticulture où nous arrivons parfois à entrevoir des tomates ou autres pastèques. Mais cette culture s’arrête à l’entrée du Parque Natural del Cabo de Gata où elle est interdite car elle épuise la nappe phréatique. Nous longeons alors une plage de plusieurs kilomètres, déserte aujourd’hui mais certainement noire de monde en été. De l’autre côté, il y a des marais salants beaucoup moins importants qu’à Aigues Mortes et  on y retrouve des colonies de flamands roses, grands amateurs de ces petites crevettes qui colorent leur chair mais aussi les étendues de concentration du sel.
Plus loin, nous atteignons, par une petite route étroite et tortueuse (comment fait-on en été alors que, s’agissant d’une voie sans issue, on repart du cap comme on y vient ?) le phare de Capo de Gata qui surplombe la mer et ses rochers. Nous sommes à l’angle en bas à droite de la Péninsule Ibérique.
Nous revenons ensuite vers San José, en laissant de côté le Centre d’Essais Michelin d’Almeria, et nous nous dirigeons vers Las Isletas del Moro, au bord de la mer, puis Rodalquilar grosse bourgade qui a connu jadis une petite prospérité grâce à ses mines d’or. Elle a aussi donné son nom à la rodalquilarite, un chlorotellurite acide de fer (§ Wikipedia pour ceux, y en a-t-il ?, qui veulent en savoir plus), que l’on trouve également à Tombstone dans l’Arizona, les deux bourgades ayant en outre un autre point commun, celui d’être situées dans des endroits désertiques propres au tournage de westerns !
Nous sommes là au sommet d’une caldera et redescendons rapidement dans le volcan : c’est dire si le relief est tourmenté. Et après avoir parcouru des espaces couverts de tertres de terre qui me font le même effet que des mottes de terre à des fourmis, nous arrivons à Las Negras, une petit station balnéaire au bout du monde. Nous nous y arrêtons pour manger dans un restaurant au bord de la plage : au menu bacalao con tomate et jurel a la plancha (maquereaux).
Nous revenons donc sur nos pas, prenons l’autoroute que nous quittons rapidement pour revenir au bord de la mer, à Carboneras, petite ville dotée d’une grosse cimenterie ! Et là, nous longeons à nouveau la mer, le long d’une côte très découpée où la route passe son temps à monter et descendre donnant des points de vue magnifiques sur la mer et sur la côte.
Nous atteignons ainsi le point le plus au nord de notre promenade d’aujourd’hui, Mojacar. 15 kms plus au nord se trouve le village de Palomarès qui a défrayé la chronique en 1966 car, suite à une collision entre 2 avions, l’US Air Force a perdu 4 bombes H. Elles ont été retrouvées (une dans la mer), sans causer trop de dommage (a-t-on dit) mais cet événement était resté ancré dans ma mémoire.
 Mojacar, c’est son petit village traditionnel mais surtout une grosse station balnéaire remplie de gros complexes hôteliers. C’est étonnant comme les espagnols arrivent à bâtir de tels centres dans une côte au demeurant magnifique. Heureusement, la côte est tellement tourmentée et escarpée qu’il reste de nombreux très beaux passages. Mais qu’est ce que cela doit être en été … !
Et la soirée se termine dans un des restaurants de San José : au menu, ce soir gambas grillées et rodaballo a la plancha (turbot grillé) énorme et succulent.




lundi 21 mai 2012

San Jose : 20 mai 2012





San Jose  : Ce que l'on voit de la terrasse de notre chambre d'hôtel

20 mai 2012 : de Grenade à Almeria






Sur notre chemin, la ville de Guadix avec sa cathédrale et ses maisons troglodytes



Dimanche 20  mai 2012
Point de char en sortant de notre hôtel mais nous retrouvons notre fidèle voiture, qui nous attend au parking public, pour prendre la route vers notre dernière étape de vacances, San José près d’Almeria, distant de 200 kms.
Nous quittons donc Grenade alors que quelques rares gouttes de pluie incitent les grenadins (et grenadines) à sortir leur parapluie. Très vite, dès la sortie de la ville, nous montons le long de la Sierra Nevada et nous arrivons rapidement au niveau des nuages. Les essuie-glaces sont en marche lorsque nous passons le Puerto de la Mora de Huétor à 1390 Mètres. Nous arrivons ensuite à Guadix au centre d’une région au relief karstique qui fait penser à l’Anatolie (où je ne suis jamais allé !). Nous nous y arrêtons pour rejoindre le Barrio de las Cuevas, le quartier des grottes ou, plus exactement, des maisons troglodytes. Au total, on en compte 2000, ce qui fait de Guadix la plus forte concentration de maisons troglodytes en Europe.
Si ces grottes ont d’abord accueilli les gitans arrivés d’Inde en Andalousie en 1562, elles forment aujourd’hui tout un quartier de la ville où l’on voit émerger des cheminées blanches (mais aussi des antennes de télévision) de tertres ocres d’argile dans lesquels ces maisons sont creusées. Cet argile a la caractéristique de se durcir au contact de l’air ce qui permet de bâtir des grottes imperméables qui gardent une température constante de 20°C tout le long de l’année. Stéphanie et Jean-Marie et Benoît et Flora ont passé des vacances il y a quelques temps dans des habitations semblables, à proximité de Guadix.
La ville renferme également une belle cathédrale et un Alcazaba (forteresse musulmane) datant du XIème siècle, tout à fait majestueux.
Nous reprenons la route dans un paysage toujours aussi désertique où seuls les oliviers et les éoliennes poussent.
Alors que nous arrivons à proximité  d’Almeria, nous recherchons un endroit pour déjeuner ce qui nous fait faire, en vain, quelques détours par des villages qui répondent au nom de Pechina ou Viator et ont un intérêt identique au nombre de restaurants, nul.
Nous nous approchons du bord de la mer. Il fait un  beau ciel bleu mais un vent fort. Nous commençons à voir de plus en plus de serres en plastique, plus élevées qu’en France, de sorte que parfois, nous ne roulons qu’entre 2 murs de matière plastique. Nous sommes au royaume de la  « plasticultura ».
C’est ainsi que nous arrivons à San José, petit village en bord de mer, aux maisons blanches devenu récemment une station balnéaire réputée. Heureusement, nous ne sommes qu’en mai et le village nous apparaît bien tranquille.
Nous longeons chez Doña Pakyta (le nom de notre hôtel) et c’est en ayant la mer devant nous que nous savourons une excellente paëlla aux fruits de mer dans un grande salle de  restaurant pour nous tous seuls.
 Nous nous installons ensuite dans notre chambre qui, elle aussi, donne sur la mer. C’est une grande chambre très agréablement décorée, comme le reste de l’hôtel, en bleu et  blanc, en parfaite harmonie avec la couleur du village, de la mer et du ciel.
Nous repérons ensuite les lieux : le centre de village est rempli des restaurants et également maisons de vacances à louer. Mais le site, une petite crique bordée de chaque côté par de gros rochers,  est très joli. Le village doit être surchargé l’été mais est très agréable par ce mois de mai.
Et comme nous sommes au bord de lamer, quoi de plus normal que de dîner le soir de poisson, du mérou, sans grande faim après notre paella de ce midi (ou plus exactement de 16 h 00) et c’est au bruit des vagues que nous nous endormons.



dimanche 20 mai 2012

19 mai 2012 : Grenade (suite 5)







Grenade : en se promenant dans le Barrio Albaizin

19 mai 2012 : Grenade (suite 4)






Grenade : l'Alhambra et la Sierra Nevada vues du Barrio Albaizin

19 mai 2012 : Grenade (suite 3)






Grenade : le char de la Vierge del Rocio

19 mai 2012 : Grenade (suite 2)








Grenade : des andalouses au défilé de la Vierge del Rocio