samedi 30 juin 2018

USA 2018 : 24 juin 2018

24 juin 2018 : sur le bateau




 Visite des cuisines



 Sur notre terrasse















 Hubbard Glacier




Dimanche 24 juin2018 :  Whittier – Hubbard Glacier
L’équipage de notre navire est principalement philippin mais le capitaine est italien : est-ce cela qui explique que notre premier jour de croisière sera un jour de « farniente » ? Pas besoin, en effet,  de se lever tôt, un emploi du temps libre pour profiter du bateau, de notre suite, du beau temps et des paysages au loin, montagneux et enneigés, de la côte ouest de l’Alaska, le long d’une mer d’huile. Voilà qui nous convient parfaitement.
En milieu de matinée,  nous faisons un petit tour des cuisines  Les repas de 2 600 personnes sont préparés chaque jour sans compter ceux de l’équipage. 2 000 œufs sont cassés chaque jour. 500 personnes en tout, y compris les serveurs, sont en charge sur le bateau de la restauration. Cela fait des immenses cuisines qui paraissent malgré l’heure (10 h 00 du matin) peu actives. Mais soyez rassurés, nous aurons largement de quoi manger tout à l’heure à midi.
D’ailleurs, midi approche et après avoir, non sans difficulté, pris une photo de nous deux ensemble devant l’étrave de notre navire, nous allons nous rassasier au buffet. Chacun sait en effet, depuis le XVième siècle, qu’une bonne nourriture  est essentielle au maintien de la paix dans un navire, ce que confirment les voyagistes du XXIième siècle qui ont à cœur de proposer à leurs passagers des repas pantagruéliques dont il leur faudra des mois pour en dissiper les effets… !
Et comme le capitaine du navire est italien, nous terminons notre repas par 2 bons expressos. Décidément, l’Alaska n’est plus ce qu’elle était … !
En milieu d’après-midi, nous arrivons au Hubbard Glacier, un glacier qui trouve son origine à une altitude de 4 700 mètres et parcourt 75 miles (120 kms) avant de se jeter dans la mer, où nous sommes. De loin, on voit tout un faisceau de glaciers qui se rejoignent dans cette baie, un peu comme des rivières qui viennent se jeter dans un même endroit. Notre glacier est la plus grosse de ces rivières. Au fur et à mesure que l’on approche, on aperçoit une falaise, haute d’une centaine de mètres, qui parcourt toute la baie : c’est l’épaisseur du glacier. Par endroit, par le jeu des reflets du soleil sur la glace, cette falaise se colore d’un joli bleu clair. Parfois également on voit des morceaux de ce front de glacier tomber à la mer avec, au loin, un bruit sourd bien distinct et forces éclaboussures Ce n’est rien par rapport à quand je mets un morceau de glace dans mon Ricard !
Ce soir, le Champagne (ou ce qui en  tient lieu) coule à flot à l’invitation du capitaine (que nous ne voyons pas) et ensuite le groupe Tauck se retrouve ensemble pour le dîner. Dommage que tout soit aussi bruyant ce qui me gêne pour bien participer aux conversations …!







Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire