Jeudi 7 avril
2016
Un taxi
pour O’Hare vient nous prendre à 8h00
(pour un vol à 10h40, c’est calculé large) et il faut se lever tôt. Le petit
déjeuner pris, nous disons au revoir à notre appartement and off, we go !
C’est
l’heure de pointe sur la Kennedy Expressway mais nous arrivons sans embûche et
largement à l’heure à l’aéroport, destination Washington Dulles, l’aéroport
international de Washington.
L’enregistrement
et la sécurité sont vite franchis : il ne reste plus qu’attendre patiemment
le départ de l’avion.
Deux heures
après le décollage, nous approchons de Washington : nous avons quitté la
plaine pour un pays vert et vallonné et, sur la gauche de l’avion, on aperçoit au
loin l’océan. Nous nous rapprochons de l’Europe et nous n’avons plus que 6
heures de décalage.
Nous
prenons possession de notre voiture de location, une Dodge Caravan qui, en beaucoup
plus moderne, nous rappelle nos voyages avec les enfants.
Comme nous
souhaitons trouver à nous nourrir (rien n’est servi sur les vols domestiques à
part de l’eau ou des sodas), nous quittons l’autoroute, ce qui permet à Elise
d’avoir, en traversant Arlington, une première vue de la banlieue d’une grande
ville américaine. Et nous trouvons un Mc Do. Qu’est-ce que l’on ne fait pas
pour ne pas mourir de faim !
Et, plus
loin, grâce à notre GPS, nous nous arrêtons dans un magasin de notre chaîne
favorite, Whole Foods, et achetons de quoi préparer les petits déjeuners de
notre séjour et notre dîner de ce soir.
Après avoir
traversé le Potomac, nous entrons dans Washington, apercevons le Crayon et le
Lincoln Memorial et arrivons à notre hôtel, la AKA White House, à côté de
Pennsylvania Avenue et à deux pas du siège du FMI.
En entrant
dans notre appartement, nous découvrons que nous risquons de y nous perdre
tellement il est grand (de l’ordre de 150 m2 avec 2 grandes chambres et une encore plus grande salle de séjour).
Mais avant
de dîner, comme nous avons oublié de nous fournir en sel et poivre pour notre
dîner, je pars avec Elise lui faire découvrir ce qu’est une pharmacie aux USA, en
lui expliquant ce qu’est un drugstore ! Et nous trouvons ce que nous
cherchions, à côté des cartes de vœux ou des produits à vaisselle mais aussi
des médicaments vendus en vente libre,
ou, dans un endroit bien isolé, des médicaments vendus sous prescription.
Après le
dîner, il ne nous reste plus qu’à se coucher après une journée de transition
qui a permis au dos de Sylvie de se reposer. Demain, tel Rastignac, nous
partons à la conquête de Washington et rencontrons le Président Obama à qui
Elise va lire les aventures de son chihuahua.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire