mercredi 2 septembre 2020

2 septembre 2020 : Ascain, Sare, Aïnhona, Espelette

 

Notre séjour à l’hôtel Agur Deneri arrive à sa fin avec des sentiments mitigés sur l’hôtel. D’un côté, la chambre est spacieuse, très propre, bien aménagée et elle offre une belle vue sur la ville et la plage. Mais, de l’autre,  Internet est hautement défectueux, il n’y a pas d’ascenseur et le parking est hasardeux à tel point que je griffe le côté droit de la Tourer. Je ne sais ce qu’en dira M. Roussel.

Notre journée est consacrée à toute la région (du moins le côté français uniquement, bien sûr) dominée par le massif  de la Rhune qui culmine à 900 mètres. 

Nous commençons par éviter la promenade qui consiste à monter au sommet de la Rhune soit à pied (5 heures de marche pour l’aller et retour) soit par le train à crémaillère, envahi par des foules de touristes.

Par contre, nous visiterons toute une série de villages, Ascain,  Sare, Ainhoa, Espelette qui offrent tous la même physionomie, à l’exception d’Espelette, qui y ajoute le piment qui l’a rendue célèbre.

En effet, tous ces villages offrent le même charme des grosses maisons chaulées de blanc avec des colombages colorés qui leur donne une certaine gaité accentuée par un beau soleil. Le centre de tous ces villages est occupé par le fronton de pelote basque. On y voit un même type d’église, haute bâtisse avec un clocher massif en pierre, un intérieur doté de galeries supérieures en bois, un retable riche en statues dorées et un cimetière avec des stèles funéraires discoïdales

Autre ressemblance de ces villages, ils sont envahis par les touristes (dont nous sommes) et il n’est parfois pas facile de stationner (décidément !). Qu’est-ce que cela doit être en plein mois d’août ?

Nous arrivons à Saint-Pée-sur-Nivelle où nous passons la nuit dans  un hôtel normal avec Internet, ascenseur et parking. Depuis ce matin, nous avons parcouru une distance de 15 kms à vol d’oiseau !!

Et nous finissons la journée au restaurant de l’hôtel en dînant de tourteaux, de lotte et d’un dessert que je n’avais pas mangé depuis les « anniversaires des beaux-pères », je veux dire de l’omelette norvégienne.

 





 Ascain







Sare












Aïnhona









Espelette


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