jeudi 7 mars 2019

HAWAII 2019

7 mars 2019 : de Kapa'a à Hanalei




 Le "Sleeping Giant"








 Kilauea Bay et le phare



 Au Kong lung & Co Market






 Des "nènè" : oie emblématique d'Hawaï




Culture du taro, féculent emblématique d'Hawaï

Jeudi 7 mars 2019  Kauai  Les côtes est et nord
Au programme aujourd’hui, la poursuite du tour de l’île au-delà de notre visite d’hier.
Nous reprenons la route d’hier et traversons Lihue, (la deuxième ville de l’île, contrairement à ce que j’ai écrit hier) devancée par Kapaa qui compte 10 500 habitants. Les deux villes distantes d’une dizaine de miles semblent regrouper l’essentiel de l’activité économique de l’île, à l’exception, bien sûr, du tourisme qui se répartit essentiellement sur la côte nord (pour la plage l’été et le surf l’hiver) et la côte sud (où nous sommes).
Premier arrêt à Kapaa : un magasin de tissus de patchwork où Sylvie essaye de rattraper le retard dans ses achats par rapport à un voyage habituel aux USA. Puis nous continuons notre route jusqu’à Kilauea, une route un peu en retrait par rapport à la mer : le vert de la végétation tropicale remplace le bleu de la mer.
Comme la vallée de la Wailua, hier, cette région est très agricole. Elle a connu le boum de l’activité sucrière dont on trouve la trace par des marchés sur le côté de la route aux noms chinois, (Kong Lung, par exemple), du nom des propriétaires des plantations maintenant reconvertis dans le marché touristique. Les fermes, opulentes, se consacrent à l’élevage ou la culture fruitière (notamment oranges et pamplemousses, beaucoup plus gros que sur les étals de nos magasins) mais l’on voit aussi des cultures de taro (dont on vend la racine, d’une forme plus allongée que la betterave et riche en amidon). De temps en temps, nous croisons des nénés, des petite oies, largement sauvages, l’oiseau de l’état d’Hawaii.
La mer n’est cependant pas loin avec ses vagues, ses rochers et ses moutons, car le vent souffle fort. Les baignades sont interdites mais on aperçoit au loin des surfeurs moins compétents  que ceux que nous voyons sur les écrans de télévisions du restaurant où nous déjeunons.
Plus loin, à la hauteur de Hanalei, la route est fermée sauf au trafic local et nous ne pourrons pas aller jusqu’à la plage où nous étions allés lors de notre précédent voyage, dont j’avais gardé un accent de bout du monde.
Il est temps de retourner : au  loin, sur Lihue, le ciel est gris et la soirée sera parsemée d’averses. Ceci ne nous empêche pas d’aller dîner dans l’ambiance chaleureuse au Keoki’s d’un risotto avec queues de homard et poissons locaux.

La nuit sera probablement pluvieuse et ventée mais ce n’est pas grave : demain, il fera beau !


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