Samedi 1er octobre 2016
Samedi 1er octobre 2016 : arrivée à
New-York
4 h30,
c’est l’heure du réveil à l’hôtel Novotel de Blagnac pour prendre l’avion
Lufthansa de 6 h 55 pour Francfort, en direction des USA. Nous arrivons
parfaitement à l’heure à Francfort, donc très en avance, pour un vol qui part
pour Newark à 13h20. Cela nous donne amplement le temps de prendre un copieux
petit déjeuner dans le Lufthansa Lounge. Nous retrouvons ensuite Marie-Françoise
qui arrive de Paris pour traverser l’Atlantique pour la première fois et découvrir
avec nous New-York.
Bien
installés dans nos sièges de Premium Economy de notre Boeing 747, (c’est mieux
que le Coach mais, comme Elise l’a appris lors de notre dernier voyage, on ne
peut pas être surclassé en première à tous les coups), nous arrivons, sans
difficulté à l’aéroport de Newark, le troisième grand aéroport de
l’agglomération new-yorkaise, situé dans le New-Jersey, non sans avoir, pour
moi, lu la totalité de l’histoire d’Aladin dans les contes des 1001 nuits (le
lecteur persévérant saura mardi pourquoi).
Premier
contact avec l’Amérique, les innombrables entrepôts, containers et grues de
cette partie du New Jersey qui nous rappellent que New-York est aussi un port. Au loin, nous apercevons la Statue de
la Liberté qui nous rappelle que New-York a longtemps été le principal point
d’entrée d’émigration de la côte Est.
Nous
traversons ensuite Manhattan par le Holland Tunnel et Chinatown et arrivons au
396 Waverly Av. à Brooklyn où nous allons loger pendant notre semaine
new-yorkaise. Notre logeuse n’est pas là mais nous a laissé ses instructions et
nous prenons possession de notre appartement dans un quartier qui pourrait
presqu’être anglais, avec ses maisons en briques, collées les unes aux autres, et
leur demi étage en sous-sol qui nous rappelle l’endroit où logeait Kathleen en
2007).
Un passage
au « Adabache » du coin (en plus grand !) et nous avons tout ce
qu’il nous faut pour dîner et prendre notre petit déjeuner demain.
Nous dînons
rapidement et nous nous couchons après une journée où, décalage horaire oblige,
nous sommes restés éveillés près de 24 heures.
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