Jeudi 9 octobre 2014
C’est le
grand jour : les avions volent (l y a quelques semaines je commençais à
m’inquiéter avec cette grève des pilotes d’Air France qui semblait ne pas finir)
et nous partons pour les USA.
Le
« deep south » est au programme de cette année avec l’Alabama et le
Mississippi, le pays des grandes propriétés de coton, leur art de vivre mais
aussi l’esclavage, et, plus récemment,
celui de la lutte pour les droits civiques. Nous avons déjà mis les pieds
dans ces 2 états mais notre visite de Natchez (Mississippi) avec les enfants et
sous la pluie et celle, plus récente, de Decatur (Alabama) avaient été très
rapides.
Après une
bonne soirée familiale chez Benoît et Flora et les enfants, nous partons tôt
matin pour Roissy, direction Atlanta, la
ville de Coca-Cola, de CNN et de …« Autant en emporte le vent ».
Le voyage se passe sans encombre,
confortablement installés que nous sommes en Economy Premium d’Air-France et
nous arrivons parfaitement à l’heure dans
la grande ville de la Géorgie.
Nous avions
gardé un souvenir assez médiocre de l’aéroport d’Atlanta avec son train vétuste
pour amener les voyageurs aux terminaux et ses files d’attente mais les choses
se sont bien améliorées et il nous faut guère
plus de 1 heure pour passer toutes les formalités d’immigration et de douanes et
récupérer les valises, que nous avions quittées hier à Toulouse, ainsi que notre
voiture de location, une Chevy Captiva.
Puis nous
prenons la route (la I 75), une route encombrée mais en tous points semblable
aux milliers de kilomètres que nous avons parcourus sur les interstate
américaines. Nous allons vers le sud, sans entrer dans Atlanta, en direction de
Locust Grove à une cinquantaine de kilomètres, dont le nom ne dit rien à personne mais que Sylvie a repérée pour ses
magasins d’usine. Est-ce un hasard si notre première visite, demain, est
consacrée à un « Factory Outlet ?
Grace à
notre GPS, nous atteignons notre hôtel sans difficulté, le seul problème que
nous ayons eu ayant été d’avoir une ventilation de la voiture très bruyante
avant de découvrir, en arrivant à l’hôtel, que ce bruit que nous n’arrivions
pas à baisser n’était rien d’autre que le bruit de fonds de la radio.
Et, comme
il est 6 heures plus tard pour nous, nous dînons rapidement à côté de notre hôtel
et bien que nous ne soyons pas au Texas nous mangeons mexicain !
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