Enniskerry : Powerscourt Waterfalls
Powerscourt Falls : chercher Alain !
Nous quittons l'Irlande au bord du "Yeats"
Mardi 16 juillet 2019 Nous quittons l’Irlande.
Notre bateau quitte le port de
Dublin à 16h00 cet après-midi : nous avons donc un peu de temps, ce
matin, avant d’en prendre la direction.
Bray s’est vidé par rapport à hier
soir et le strand appartient ce matin à quelques coureurs et marcheurs matinaux
(ce qui en Irlande me semble signifier « avoir une activité avant 9 heures
voire 9h30).
Nous prenons notre petit déjeuner
sur la terrasse de notre hôtel, ce qui nous permet de voir passer au loin et
ponctuel, notre ferry.
Glendalough n’est pas loin de Bray
mais nous n’aurions pas assez de temps pour faire la belle promenade jusqu’au
bout du lac que nous avions faite, Sylvie et moi, en 1970. Aussi allons-nous
vers Powerscourt. Nous passons à proximité de son château mais nous nous
arrêtons à sa cascade. En plein centre d’un cirque, on la voit dévaler de 120
mètres de hauteur. Elle est alimentée par les pluies qui arrosent les Wiclow
Mountains voisines et donnent à tout cet univers végétal une couleur verte
intense.
C’est les vacances et nous sommes
entourés d’enfants de groupes différents de l’âge de nos plus jeunes petits
enfants. Ils sont en excursion mais nous sommes frappés à quel point les
accompagnateurs les laissent libres de leurs mouvements dans un environnement
sans danger mais probablement nouveau pour eux : un garçonnet marche dans
un bras de la rivière quitte à revenir de sa promenade tout trempé pendant
qu’une petite accompagnée de 2 de ses copines, hésite à sauter d’un caillou à
l’autre et finit par franchir l’obstacle.
Mais il faut reprendre la route car
le bateau n’attendra pas. Nous traversons Dublin et Sylvie reconnaît
l’ambassade américaine, à la forme ronde bien spécifique, qu’elle avait visitée
en 1967. Nous franchissons la Liffey, passons à côté du terrain de courses
hippiques où se déroule le Dublin Horse Show et j’aperçois un capitole au toit
doré que Sylvie me dit être le Custom House.
Puis, nous retrouvons le Port, où
nous étions arrivés il y aura demain trois semaines.
Il se met à tomber une petite pluie
et j’y vois le regret de l’Irlande de nous voir partir mais peut-être suis-je
un peu rêveur…!
Le Yeats lève l’ancre à l’heure
prévue et nous refaisons en sens inverse le chemin que nous avons fait ce matin
en passant au large de Dun Laoghaire et Bray puis nous descendrons la côte est.
Trois heures après avoir quitté Dublin, nous perdons de vue les côtes
irlandaises. Une dernière Guinness avec le dîner vient, en complément, fermer
la page irlandaise.
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