Petit déjeuner sur notre "lanai"
Kiuhuna Plantation à Poipu...
Son magnifique jardin...
Sa plage
Waimea Canyon State Park
Comme partout dans l'île : des poules et coqs sauvages
Ko'kee State Park
Le "swinging bridge" de Hanapèpè
Immense plantation de café
Mardi 5 mars 2019 Kauai Tour du propriétaire, Waimea Canyon
La première chose à faire alors
que nous sommes arrivés hier en fin d’après-midi, c’est de faire le tour du
propriétaire. Nous n’avons pas de mal à vite reconnaître cette
plantation : nous y avons séjourné il y a une quinzaine d’années et elle
n’a pas changé : une trentaine de bungalows en bois blanc pouvant accueillir 6 appartements chacun,
éparpillés dans une vaste plantation anciennement couverte de canne à sucre
et devenue maintenant immense parc associant arbres tropicaux, bassins, aires
de jeux et bien sûr une belle plage de sable fin. Nous ne sommes plus à la
ville mais à la campagne, une belle campagne
riche et bien entretenue.
Nous reconnaissons vite également
le petit centre commercial de l’autre côté de l’avenue avec ses magasins de
vêtements (à croire que les touristes passent leur temps à en acheter), des restaurants de tous types (c’est bien connu que les
touristes, y compris américains, passent leur temps à manger), et même une
bijouterie (les touristes achètent-ils autant de bijoux que cela ?).
L’après-midi est consacré au
canyon de Waimea qualifié de « Grand Canyon du Pacifique » par Mark
Twain. Toute la côte ouest de Kaui est très escarpée. Elle est également
très pluvieuse : le mont Waialale, qui, avec son altitude de 1 600
mètres, en est un des points dominants, reçoit en moyenne 9 500 mm d’eau
par an, ce qui en fait un des points les plus pluvieux du monde).
Ceci conduit à un relief volcanique très érodé, avec, au loin, des
crêtes comme des lames de couteau, et une végétation luxuriante. Nous quittons
donc la côte pour prendre la route qui va nous mener au Waimea Canyon State
Park. De place en place, celle-ci nous offre des points de vue spectaculaires
en direction de l’intérieur de l’île » avec des abimes (et des cascades) verticaux
de plusieurs centaines de mètres. Le terrain est rouge-fer avec parfois des
taches vertes, bleues ou jaunes. En bas, on distingue une rivière, la Waimea,
que nous traverserons une fois revenus au niveau de la mer. Sur le bord de la
route, Sylvie retrouve une petite cascade où nous nous étions déjà arrêtés qui coule dans un terrain
uniformément rouge (on se croirait presque à Maraval)
Arrivés à la fin de la route,
nous donnons sur la mer. Les nuages sont à la hauteur des sommets environnants
et commencent à descendre. Ils nous laissent cependant le temps de profiter
d’un rayon de soleil sur la côté. Sylvie m’assure (et je la crois) qu’il
faisait beaucoup plus beau quand nous étions venus la dernière fois.
De retour sur la côte, nous retrouvons un
temps un peu meilleur, une activité industrielle, des marais salants et des
cultures de caféiers puis la petite de ville de Hanapèpè dont nous nous
souvenions du « swinging bridge » (un pont qui balance)
construit en 1911 qui traverse la Waimea.
Nous finissons la soirée au Keoki’s,
un restaurant de la même famille que le Hula Grill qui sert d’excellents
poissons, bien assaisonnés et bien cuits : ce soir un très bon duo de mahi
mahi et de ono.
Tout cela en attendant de manger
du humuhumunukunukuapua (en hawaiien dans le texte, triggerfish en anglais)
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