Lanier Lake Islands
Dimanche 9 novembre 2014
Notre
voyage touche à sa fin et demain à cette heure-ci (il est 18 h 30 à l’heure où j’écris
ces lignes), notre avion quittera l’aéroport d’Atlanta en direction de Paris.
Ce matin, à
la lumière du jour, nous découvrons notre hôtel, le Legacy Lodge, sur le lac
Lanier. Cette étendue d’eau de 150 km2 est le lac de retenue d’’un
barrage construit dans les années 1950 pour produire de l’électricité mais
également fournir la ville d’Atlanta en eau. Les épreuves d’aviron et de canoë des
jeux olympiques d’Atlanta (1996) y ont eu lieu et, aujourd’hui, c’est un lieu
de récréation (dont l’inévitable golf) et de sports nautiques de toutes sortes.
Les nombreux bateaux, rangés pour l’hiver,
en témoignent.
L’endroit
est également connu pour ses 10 Kms de décorations de Noël. Malheureusement,
nous sommes trop tôt en saison pour les voir car elles sont installées mais pas
allumées.
Notre hôtel
est au bout de cet endroit de rêve et tout est fait pour le plaisir et le
confort des hôtes : c’est ainsi que le
balcon de notre chambre donne sur le lac que nous voyons à travers les
arbres aux couleurs d’automne. Cela fait tout à fait « vacances »
dans un de ces lieux élégants dont les américains raffolent avec de grandes
pièces, au décor faussement rustique
(comme la grande cheminée du lobby, qui ne s’arrête jamais et fonctionne
certainement au gaz) et où tout est bien organisé, avec beaucoup de personnel.
Mais, nous
avons du travail car, si Sylvie a choisi cet hôtel, ce n’est pas uniquement
pour terminer notre séjour par un hôtel et un endroit sympas (ce qui est le
cas), mais aussi parce qu’il n’est pas trop loin du North Georgia Premium
Outlet, en d’autres termes pas loin d’un
mall de magasins d’usines. Et cela tombe bien car nous sommes toujours à la
recherche de manteaux, chaussures ou valises… ! Notre recherche ne sera
qu’à moitié-fructueuse mais qu’importe, cela nous donnera un prétexte pour
revenir…
Rentrés à
l’hôtel, il nous reste à faire nos valises en répartissant toutes nos affaires
de manière qu’aucune de nos valises ne dépasse 23 kgs !
Nous dînons
à l’hôtel. Petite anecdote : comme nous nous plaignons d’avoir attendu 35
minutes pour être servis (d’habitude, ici, 35 minutes suffisent pour un repas
entier), nos steaks sont gratuits. Le cuisinier n’était peut-être pas très bon
mais le geste est vraiment professionnel et c’est vrai que, dans ce pays, la
notion de service a gardé un sens !
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