Le parc de notre hotel : le Legacy Lodge à Lake Lanier
La plaque de notre voiture ....
Et à la prochaine fois !
Lundi 10 novembre 2014
Cela sent
la rentrée : nous devons être à l’aéroport d’Atlanta à 17h00 au plus tard.
A l’hôtel aussi, cela sent aussi la rentrée car, ce matin, il estt vide et nous
prenons notre petit déjeuner dans une grande salle rien que pour nous alors
qu’hier, dimanche, elle était pleine. Mais cela ne m’empêche pas, comme hier,
de prendre une bonne grosse omelette. Je sens que l’heure du régime va bientôt
sonner… !
Comme nous
avons le temps, nous allons, avant de partir, jusqu’au bord du lac au bas de
notre hôtel. Le soleil illumine le lac et nos seuls compagnons sont les
écureuils que l’on voit sauter de branches en branches à travers les arbres.
L’étendue d’eau et le soleil qui se joue des arbres nous font un peu penser au
Pyla, à ceci près que les pins ont laissé la place à des chênes.
Nous prenons
ensuite la route pour l’aéroport. C’est une succession d’autoroutes qui font le
tour d’Atlanta dont nous apercevons au loin la Skyline.
Mais il
n’est pas question de partir sans faire un dernier arrêt (et achat) chez
Macy’s. De même, il n’est pas question de partir sans faire un dernier arrêt (et
repas) au Red Lobster (et, 6 huitres et des filets de truite grillés, n’est-ce
pas le début du régime ?).
Nous
arrivons dans cette ville qu’est l’aéroport d’Atlanta. Je dépose Sylvie et les
valises au terminal International qui est tout récent et repars faire une bonne
quinzaine de kilomètres pour rendre notre fidèle voiture avec qui, en un peu
moins de 5 semaines, nous aurons parcouru 3 850 miles (soit pratiquement
6 200 kms) sans aucun ennui.
Notre avion
part tout à fait à l’heure de la gate. C’est l’heure des retours des bureaux et
le temps clair nous permet de voir, de notre tapis volant, les lumières de la
vie de la ville le long des autoroutes et les files rouges et blanches des
voitures.
Et c’est
ainsi que nous terminons notre voyage de cette année, un voyage qui nous a
permis de voir à nouveau l’Amérique des grands espaces et des héros, celle que
célèbre le chant « America the beautiful » très souvent chanté, y
compris, parfois, à la fin de la messe :
America, O beautiful for spacious skies,
For amber waves of grain,
For purple mountain majesties
Above the fruited plain!
America! America!
mais aussi une
Amérique pauvre, qui a du mal à vivre, qui connaît le chômage et la misère, et
qui, malgré tout, cherche à vivre the American dream !